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Kerra Holt, une Jedi chez les Sith

La République et les Jedi n’ont pas toujours contrôlé la galaxie ou apporté la lumière. Il y a même eu des époques où ils ont volontairement...

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vendredi 29 mars 2024

Qui est Grievous ?

Il existe des personnes qui marquent par leur apparence. Il n’est pas besoin d’avoir la Force ou de pouvoir faire voler des objets ou lancer des éclairs pour être charismatique ou imposant. Grievous en est un bel exemple même si il faut admettre que son apparence suffit à le différencier de ceux qui l’entourent. Dans le roman Sombre apprenti, on trouve une description qui lui rend parfaitement justice et illustre ce qu’il est : « avec ses quatre bras, son masque semblable à un crâne et ses pieds griffés, c’était une créature qu’on aurait pu croire issue des cauchemars qu’induisait les épices, et non un être réel. C’était plus une machine qu’un organisme vivant, mais on lisait dans ses yeux fendus une malveillance terrible ». Grievous est une chose impitoyable, un formidable outil de combat qui obéit aux ordres de Dooku. C’est un homme connu dans une bonne partie de la galaxie, craint par un grand nombre. Ses exploits parlent pour lui. Comme le mentionne Asajj Ventress, il a répandu la mort et la destruction sur Dathomir (« à l’époque, elle était dévastée par le massacre de son clan que Grievous avait perpétrée »). On peut même penser que Grievous prend un malin plaisir à traquer des utilisateurs de la Force puisque les Jedi semblent être des proies qu’il apprécie. Ainsi, Dooku dit que « lorsque Grievous ou Ventress abattaient un Jedi, ils me rapportaient ces petites souvenirs du combat » ; Grievous aimait collectionner les sabres laser.


Grievous est sans conteste devenu un individu qui a marqué l’histoire de la galaxie, et en particulier de la Guerre des Clones. Dans le roman Collectionneur qui se déroule des années après la fin de la Guerre des Clones et de la Chute de l’Empire, Karr nous en donne la preuve en se rendant sur Utapau : « c’est sur cette planète que le Général Grievous avait été tué, ce qui avait mis fin à la guerre. Il avait appris ça à l’école ».


Grievous a considérablement marqué la mémoire collective. Dès que Vador est apparu, il a sans cesse été comparé à lui. Il faut dire que Vador, pour beaucoup, n’est qu’une machine avec des bouts d’homme. Dans le roman Tarkin, Tarkin fait état de rumeurs affirmant que « certains disaient qu’il était une contrepartie au Général Grievous de la Confédération que l’Empereur aurait gardée en réserve ».


Mais, c’est surtout dans l’univers légendes que la comparaison entre Grievous et Vador est développée.


L’apparition de Vador a suscité des questions. Personne ne savait qui il était, d’où il venait et encore moins quel était son rang. Les gens se posaient des questions.

Dans le roman l’Etoile Noire, Tarkin s’interroge : « Vador. On disait que sous son armure, il ressemblait davantage à une machine qu’à un homme. Tarkin savait que le droïde Général Grievous avait été capable de manier quatre sabre lasers en même temps ». Ainsi, en plus de leur apparence, de leur aspect machine, c’est leur capacité à manier correctement les sabres laser qui les rassemble. 

Shryne, un Jedi du temps de la Guerre des Clones, a combattu Vador en duel. Lui note un autre point en commun entre les deux : Vador protège sa plaque centrale comme Grievous protégeait ce qui lui restait de coeur. Shryne remarque que « c’était pour cela que Vador avait adopté ce style archaïque - il protégeait son centre, comme Grievous avait été forcé de le faire ».


Vador est un Grievous amélioré. Si on met de côté ce qui est lié à la Force, il est une machine avec des morceaux d’homme. Sa fabrication a été permise par Grievous : en effet, « la plupart des systèmes étaient d’ailleurs assez anciens. Les médecins s’étaient contentés de les modifier en urgence. Certains dérivaient des systèmes appliquées au droïde Général Grievous ». La ressemblance est flagrante : les deux détonnent dans leur environnement, ils ont une respiration particulière. Dans le roman, l’Ascension de Dark Vador, le Jedi Shryne souligne que « avec sa longue cape et son large casque noirs, Vador avait l’air d’un produit emprunté aux Séparatistes - un mélange grotesque d’humanoïde et de machine à la Grievous ». 

Vador fait une première apparition remarquée et remarquable sur Kashyyyk ; il est filmé, entre autres, en train d’exterminer des Jedi. Le moment est marquant et un journaliste résume l’opinion populaire. « est-il humain ? Est-ce un clone ? Ou bien est-il une version du Général Grievous au service de l’Empereur ? »

lundi 23 janvier 2023

Les idées de Dark Sidious

Le Sith Dark Sidious a réussi à un exploit : il a réussi à prendre le contrôle de la République, l'a transformée en Empire tout en humiliant au passage les Jedi. Il les a humiliés en restant dans leur ombre, en les rendant incapable de les percevoir. Et encore mieux, il leur a pris celui qui devait être leur Élu : Anakin Skywalker. Il ne s'est pas contenté de le prendre, il a entraîné sa longue transition vers l'obscurité et l'a dépouillé de tout ce qu'il avait.

Sidious se rend compte que l'apprentissage de Vador va être compliqué. Vador a encore trop de réflexes en lui du temps où il était Jedi. Il est encore obsédé par les fantômes du passé. Sa défaite contre Kenobi le ronge et il rêve de se venger du Jedi. Il n'a pas non plus oublié Padmé : il oscille entre rancœur suite à sa prétendue trahison et amour déçu. Sidious tente de lui faire passer un message : l’attachement n'est pas une mauvaise chose sauf si il vous empêche de vous élever. Les pensées de Vador sont un frein à l'accomplissement de son destin de Sith. Seule l'obscurité doit l'accompagner (« marié à l'ordre Sith, vous n'avez pas besoin d'autre compagnon que le Côté obscur »). Ce que Vador ne parvient pas à comprendre est qu'un Sith doit être capable de tout sacrifier pour atteindre son objectif ; il ne doit pas être freiné par des attaches. La règle des deux en est un bon exemple : alors que la relation entre un Maître et son apprenti est harmonieuse chez les Jedi, elle est compétitive et mortelle chez les Sith. Sidious le lui explique clairement en lui disant que « le chemin vers le côté obscur n'est pas sans risques, mais il est le seul qui vaille d'être suivi. Peu importe notre apparence, et qui doit être sacrifié pour que nous atteignions notre but ».

Une caractéristique forte de Sidious est son mépris envers les Jedi. En étant chancelier, il a vu à quel points ils n'avaient aucune vision, à quel point l'Ordre Jedi de Yoda avait failli.

Il utilise tous les moyens pour rabaisser la légendes des Jedi, même si ils ont disparu grâce à lui. Symboliquement, il permet à Vador d'utiliser son sabre laser même si il ne devrait pas (« les Sith n'ont plus besoin de sabres laser. Mais nous continuons à en utiliser, ne serait-ce que pour humilier les Jedi »).

Alors que Vador veut traquer les derniers Jedi encore en vie, Sidious est plus enclin à les laisser sombrer, à les laisser patauger dans leur défaite ; il veut qu'ils vivent leurs dernières années en sachant qu'ils ont été vaincus et que ce sont les Sith qui règnent : « en se mettant la tête dans le sable ou la neige de monde reculés, les Jedi survivants s'humilient devant les Sith. Laissons-les faire. Laissons les payer pour un millier d'années d'arrogance et d'égoïsme ». On note au passage que Sidious a bien conscience de porter l'héritage et la revanche de tous les Sith du passé. Bien entendu, il pèche par arrogance et plante là les graines de sa future défaite.

Sidious encourage Vador à se déchaîner. Il veut exalter ses passions, ses émotions. Un Vador fort, mais sous contrôle, rend Sidious encore plus craint (« si quelqu'un d'aussi puissant que Vador lui obéissait, cela signifiait que lui-même l'était encore plus »). Dès lors, les choses sont claires et le règne de Sidious sera un règne de peur. Il n'a de comptes à rendre personne et ceux qui se mettent en travers de son chemin seront châtiés : « la galaxie pouvait bien penser ce qu'elle voulait de son protégé : Jedi déchu, Sith faisant surface, défenseur des lois impériales... Cela n'avait pas d'importance, puisque, en fin de compte la terreur serait leur allié ».

Sidious a eu le temps de réfléchir. Il a fini par comprendre que la façon dont les Jedi se servent de la Force les freinent. Il a pu voir à quel point derrière leur image d'hommes et femmes vertueux les Jedi étaient des hypocrites. D'après lui, les Jedi empêchent les enfants de se grandir et de se confronter à la réalité. Vador n'échappe pas à ça. Malgré son côté rebelle et le fait qu'il ait commencé sa formation tardivement, il est quand même grandement marqué. Sidious s'aperçoit qu'il a du travail pour le corriger (« et de lui faire comprendre que leurs pouvoirs venaient de l'envie, de la rivalité et de la méchanceté plutôt que de la compréhension. Toutes ces qualités que les Jedi considéraient comme vils et corrompus. Pour empêcher leurs jeunes disciples, ces enfants qu'ils arrachaient à leurs familles, d'explorer les côtés profonds de leur nature. Et les brider afin qu'ils ne découvrent pas pour eux-même le vrai pouvoir de la Force »). Les Sith doivent être capables de s'emparer de leurs émotions, ils doivent s'en servir pour devenir plus forts : « jalousie, haine, trahison... telles étaient les trois choses essentielles pour maîtriser le côté obscur, mais uniquement en tant que moyen de prendre ses distances avec toute notion de moralité, dans le but d'atteindre un objectif plus élevé ».

dimanche 28 novembre 2021

Kenobi dans l'Ascension de Dark Vador

Démarrant en même temps que la Revanche des Sith, L’ascension de Dark Vador met en avant des Jedi qui ont réussi à échapper, au moins temporairement, à l’Ordre 66. Le grand intérêt de ce roman est qu’il oscille entre plusieurs narrateurs : Shryne un ancien Jedi, Dark Vador, des militaires et Kenobi. Tous nous apprennent des choses sur Obi-Wan Kenobi : sur sa vie avant la chute des Jedi et ce qu’il est devenu ensuite.

Shryne offre un enseignement intéressant, il éclaire sur le fonctionnement de l’Ordre. On se rend compte qu’il y a constitution de petits groupes, entre des Jedi qui ont des affinités ou des intérêts proches. Ici, il s’agit plus d’un groupe de cooptation, d’un groupe où on ne peut entrer que si on a un fort potentiel : « de deux ans ans l’aîné d’Obi-Wan Kenobi, Shryne comme Obi-Wan, avait été un membre de l’Ancienne Garde, comme les appelaient certains Jedi. Il s’agissait d’un groupe qui comprenait Dooku, Qui-Gon Jinn, Sifo-Dyas, Mace Windu et bien d’autres, dont nombres seraient appelés à siéger au Haut-Conseil ». C’est assez valorisant pour Kenobi d’être compris dans cette liste, il est entouré de grands Jedi. Car Kenobi a marqué son époque et les gens qu’il a fréquentés. C’est par exemple le cas de Bail Organa qui, sous l’influence de Yoda et Kenobi, accepte de placer tout son espoir en Luke et Leia (« les jumeaux d’Anakin Skywalker et Padmé Amidala n’étaient pas morts sur l’astéroïde connu sous le nom de Polis Massa. Et qu’en ces enfants, Obi-Wan Kenobi et Yoda mettaient toute leur confiance – un jour, ils vaincront le côté obscur »).

Ayant fréquenté Yoda sur Kashyyyk, c’est sans doute comme ça que Cudgel, un commerçant, sait que « Maître Kenobi était sur Utapau. Nul n’a entendu parler de lui depuis la fin de la guerre ».

Autrement dit, très peu de gens semblent savoir que Kenobi a affronté et vaincu Vador sur Mustafar. Vador lui le sait et il pense tout le temps. S’il est passé d’Anakin à Vador, c’est à cause de Kenobi qui l’a laissé brûler vif et pour quasiment mort. A cause de ça, il a perdu une bonne part de sa liberté de mouvement, de son corps : « c’était Padmé et Obi-Wan qui l’avaient enfermé dans cette armure-prison ». Dans les premiers temps, Vador a énormément de mal à s’adapter : il blâme son armure, cela l’a rendu moins fort. Il se sent moins capable, il sent avoir perdu ses capacités. Lui qui se pensait le meilleur sabreur parmi les Jedi a été touché par un Jedi lambda en début de roman et il le vit mal. Il remarque que « seuls Dooku, Asajj Ventress et Obi-Wan avaient été assez bons avec un sabre laser pour le battre ».

Dans ce roman, Sidious joue avec Vador. Il tente de lui faire assimiler des principes Sith tout en lui montrant bien sa supériorité. Il revient sur le duel de Mustafar et, si il accorde un bon point à Kenobi, il insinue également qu’il a été trop faible pour en finir pour de bon. Les Jedi ne sont pas allés au bout des choses, et ils ont été trop permissifs, ce qui a permis aux Sith de revenir : « Obi-Wan a triomphé parce qu’il est allé sur Mustafar avec une seule intention à l’esprit : tuer Dark Vador. Si l’Ordre Jedi s’était montré si résolu, s’il était resté focalisé sur ce qui devrait être fait plutôt que sa peur du Côté Obscur, nous aurions eu plus de mal à l’éradiquer ».

Enfin, dans sa dernière partie, le roman revient sur la vie de Kenobi à partir de son arrivée sur Tatooine. Sa vie est monotone, il est sur un monde qu’il connaît très peu pour surveiller un gamin qui ne sait pas qui il est (« Obi-Wan, que tout le monde ici connaissait sous le nom de Ben, avait pris possession d’une maison abandonnée à la lisière de la Dune Occidentale »). Là, il a le temps de repenser à ses échecs, à tout ce qu’il a raté et à tout ce qu’il n’a pas fait. Il peut penser à son vieil ami Anakin Skywalker et les graves blessures mais aussi à toute la haine qui transpirait de l’ancien Jedi. Il se rend compte qu « il y avait une image qui ne s’effacerait jamais de l’esprit (…) : celle d’Anakin – Dark Vador, comme Sidious venait de le rebaptiser – s’agenouillant devant le Seigneur Noir après avoir massacré les Jedi dans leur Temple. » Mais, la réalité va très vite rattrapée Kenobi qui est convaincu que Vador est mort sur Mustafar. Alors qu’il est assis dans un bar, il voir sur l’Holonet un homme-machine se faire appeler Dark Vador. Sa réaction est claire et nette : « Obi-Wan se leva sonné, renversant sa table ».

Kenobi a alors besoin de conseils, d’aide. Mais sur qui s’appuyer ? Yoda s’est mis en exil. Il est seul. Jusqu’à ce que l’esprit de Qui-Gon Jinn lui parle et lui dit que «  Obi-Wan, il ne faut pas dire à Luke que Vador est son père. Pas avant que le bon moment ne soit venu ». Ces paroles permettent de replacer Kenobi sur son droit chemin, de lui remettre à l’esprit l’importance de sa mission (« retournant à la lumière aveuglante des soleils jumeaux de Tatooine, il vit Owen, Beru et Luke. Et il continua de veiller sur eux »).

dimanche 10 octobre 2021

Padmé Amidala dans le roman l'Ascension de Dark Vador

Padmé est un personnage qui a connu une fin particulièrement triste. Tuée par Anakin Skywalker, son époux, elle a pourtant cru en lui jusqu’au bout malgré tous les signes et les avertissements, notamment ceux de Kenobi. En se rendant sur Mustafar, elle a voulu donner une dernière chance à celui qu’elle aimait.

Anciennement Anakin, Dark Vador a gardé des traces et des réflexions de son passé. Ce roman le montre en pleine interrogation, notamment dans sa nouvelle armure, dans sa relation avec Sidious et ses capacités physiques et avec la Force. Pour autant, il a toujours la même analyse de la situation, ce sont les autres qui ont été aveugles. C’est clairement apparent quand il pense que « il avait seulement voulu les sauver ! Padé de la mort, et Obi-Wan de l’ignorance ». La rencontre entre Anakin et Padmé sur Mustafar fut épique mais malheureusement trop tardive pour Padmé : Anakin avait déjà basculé, il était trop enfoncé dans le côté obscur, trop aveuglé par sa prétendue puissance et les mots doux de Dark Sidious. Pire, il est incapable de se mettre à la place de Padmé, de comprendre sa femme et notamment sa vision politique de la situation (« Padmé n’avait pas entendu un mot de ce qu’il disait, tant elle était bouleversée. Et elle s’était mise dans la tête qu’il aimait davantage le pouvoir qu’elle »). Or, celui qui a perdu le contrôle de lui-même, c’est Anakin et non Padmé.

Le roman nous en apprend un peu plus sur la relation entre Anakin et Padmé. On comprend que c’est Sidious qui a intrigué pour que les deux soient ensemble, se retrouvent après les événements de la Menace fantôme. Il avait repéré des faiblesses dans le caractère d’Anakin et il désirait les tester. Et, c’était aussi l’occasion de neutraliser une rivale politique : « Sidious s’était arrangé pour réunir Padmé et Anakin, trois ans plus tôt, à la fois pour qu’elle ne puisse pas voter contre la Loi de Création d’une Armée et pour soumettre le jeune Jedi à la tentation ». Sidious doit aussi faire face aux accusations de son nouvel apprenti qui l’accuse d’avoir sacrifié Padmé, de l’avoir tuée (« je n’ai rien à voir avec la mort de Padmé Amidala. Elle est morte à cause de la colère que vous avez ressenti devant sa trahison »). Cette justification est bien entendu un mensonge puisque Sidious avait toujours eu l’intention de voir Padmé mourir, c’était nécessaire à son plan. Au-delà de la mort physique de Padmé, Sidious recherchait la douleur de la déchirure amoureuse pour Anakin. La séparation avec Padmé aurait dû le faire souffrir, l’affaiblir et le livrer au Sith. Sidious pense clairement que Padmé n’aurait jamais compris tout ce que Anakin aurait pu faire pour amener la paix dans la galaxie et notamment le massacre des jeunes Jedi (« Sidious se demanda (…) ce qui serait arrivé si Anakin n’avait pas tué Padmé sur Mustafar (…) elle n’aurait jamais pu comprendre ni lui pardonner ce qu’il avait fait au Temple Jedi (…) même si celle-ci avait survécu à Mustafar, leur amour serait mort. Padmé aurait sans doute perdu le goût de vivre, et Vador et Sidious auraient élevé l’enfant »). Est-ce si certain ? Après tout, Padmé est resté avec Anakin même après qu’il lui ait dit avoir massacré hommes, femmes et enfants de la Tribu des Sables.

Enfin, le roman offre une part non négligeable au développement de la Rébellion grâce aux personnages de Mon Mothma et Bail Organa. Ce dernier reste fidèle aux dernières échanges que Padmé a eus avec lui (« nous devons patienter (…) répétant ce que Padmé lui avait dit dans la Rotonde du Sénat, le jour de l’annonce historique de Palpatine) alors que la Sénatrice est plus perplexe et mesurée quant à l’héritage de Padmé (« je comprends que vous vouliez honorer la mémoire de Padmé Amidala en vous tenant au conseil qu’elle vous avait donné (…) elle a soutenu Palpatine jusqu’à la fin ! »).